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Je m’appelle Filip Walleyn. Je suis originaire de Bruges et membre d’Open VLD depuis de nombreuses années.
En tant que candidat-président, je veux changer la trajectoire du parti avec un nouveau nom et une nouvelle histoire : Libra, « Alternative Libérale de Droite ». Qui je suis passe au second plan ; ce qui compte avant tout, c’est ce que je défends (voyez aussi notre programme résumé en 10 points).

Notre présidente actuelle, Eva De Bleeker, est en tout cas dans l’attente joyeuse d’un nouveau parti. Elle voit le parti renaître dans les 9 mois, et cela après la conception lors de notre magnifique Festival des Idées.

Ce que vous ne saviez peut-être pas, c’est que ma passion est la plongée sous-marine. Mon record personnel officiel est de 92 mètres de profondeur, atteint lors d’un séjour en Jordanie. Pour trouver une solution pour Bruxelles, j’ai dû plonger très profondément.
Tellement profondément que – pour ainsi dire – j’ai sans doute touché le fond de l’océan Atlantique.

Je suis remonté dans le temps, à l’époque où l’on payait encore dans nos contrées avec des Florins et des Gros flamands. Bruges était alors le centre commercial de l’Europe du Nord. La ville se trouvait au carrefour du monde méditerranéen et de la Hanse, qui avait ses origines autour de la mer Baltique. Pour le monde méditerranéen, Bruges était le port le plus septentrional ; pour la Hanse, c’était le Kontorei le plus méridional.

Et lorsque je suis remonté vers la surface, j’ai vu qu’une solution pour Bruxelles était possible : Bruxelles n’est pas une partie de la Wallonie ! Plus on essaiera de défendre cette idée, plus le marécage deviendra profond pour Bruxelles et la Wallonie. Le seul lien public est constitué par les transferts financiers du nord vers le sud. Le seul véritable lien privé entre Bruxelles et la Wallonie est un investisseur flamand, actionnaire principal d’un club de football bruxellois, qui a conquis Durbuy avec son charme, y a apporté la gastronomie dans son sillage, et est enfin aussi copropriétaire de Pairi Daiza (un nom qui vient du vieux persan et signifie en réalité « paradis »).

Ma proposition est simple : faites de Bruxelles la capitale de la Flandre et fusionnez les 19 communes en une seule ville avec une seule administration, une seule zone de police et un seul budget.

Rompez l’axe Bruxelles–Wallonie et donnez à Bruxelles un statut international où chaque citoyen doit maîtriser au moins une des trois langues officielles régionales : le néerlandais, l’anglais ou le français. Renommez la région/la ville/la capitale – peu importe le terme – mais faites-en « Brussels ». Notre site web est en tout cas déjà prêt pour l’avenir.